mort et accompagnement au deuil
Saint Joseph a été déclaré par l'Eglise comme étant le Saint Patron de la Bonne Mort car il est mort entouré de Jésus et Marie, dans la paix.
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Août 2018 :
accompagnement au deuil de la part de st Joseph après une bénédiction reçue :
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Mars 2016
Je voulais vous partager la manière dont Yves (mon mari) a vécu sa dernière semaine sur cette terre. Environ une semaine avant sa mort, il me dit : « La Vierge Marie est venue me visiter. Elle m’a retiré ma dépression et elle m’a dit que cela n’allait pas durer longtemps. » En fait, depuis quelques jours, Yves était de nouveau immobilisé et ne pouvait plus marcher, donc naturellement nous avons pensé qu’il pourrait marcher à nouveau. Les jours suivants il me disait qu’il était dans une paix incroyable qu’il n’avait jamais connue auparavant. Il commençait le chapelet, s’endormait et se réveillait avec une prière du cœur. Sa mort s’est passée très rapidement, sans aucune souffrance, de manière tout à fait inattendue pour nous, mais aussi pour les médecins. Son médecin traitant était venu le voir à 16h le vendredi après-midi et avait déclaré que tout allait bien, que la tension était bonne et qu’il n’avait pas besoin d’être hospitalisé ! Ce n’est qu’après coup que j’ai réalisé que cela correspondait aux promesses liées au port du scapulaire du Carmel et aux 15 oraisons de ste Brigitte : la Vierge Marie promet de prendre l’âme le samedi suivant sa mort (il est mort un samedi matin !) et prévient la personne une semaine avant sa mort. C'est ce qu'elle a fait pour Yves, elle l'a préparé tout au long de cette semaine. Je ne peux que rendre grâces et pour la vie d’Yves et pour sa mort si paisible et confiante dans les bras de Marie ! A la fin de l'enterrement, une personne m'a dit : "Maintenant je n'aurai plus peur de la mort!"
Merci à tous, bonne Semaine Sainte et joyeuses Pâques dans la certitude que la Vie est plus forte que la mort !
Marie-Noëlle
2012/2013
En septembre 2012, j’apprends qu’oncle Alain a été hospitalisé d’urgence. Son cancer le terrasse. Nous sommes tous en état de choc. Il faut dire qu’oncle Alain avait une personnalité hors du commun, c’est-à-dire qu’il débordait de vie et il s’était battu courageusement contre la maladie ces dernières années. Il était inconcevable qu’il soit à présent prêt à rendre l’âme. Lui-même était très affecté par son état ; sa femme, ses enfants et petits-enfants souffraient profondément. Ses frères et sœurs étaient bouleversés car il était le 5ème d’une fratrie de 8 et c’était impensable qu’il parte le premier. Personnellement, j’étais bien triste car il avait encore tant à donner sur cette terre. Par ailleurs, je sentais l’accablement et la révolte qui montaient au sujet de cette dégradation de santé brutale.
Cette fois-ci c’est vers Jésus et Marie que je me suis tournée car les fêtes de la Sainte Croix et de Notre Dame des sept Douleurs approchaient (les 14 et 15 septembre). Vu la situation, nos cœurs étaient en phase avec ces mystères. Je lance donc une neuvaine de prière à toute la famille, pour demander la guérison d’Oncle Alain. Quelques jours après, il se sent légèrement mieux. Si la maladie est loin d’être vaincue comme nous l’avons demandé pendant cette prière, ce court temps de stabilisation permet à chacun de reprendre ses esprits : un Souffle de consolation nous rafraîchit au milieu de la désolation qui nous habitait. Les mois qui suivirent furent néanmoins éprouvants car il alterna séjours à l’hôpital et séjours à domicile. Il put passer Noël et Pâques en famille et s’endormit dans les mains du Père après avoir reçu les derniers sacrements. Il était à ce moment-là, accueilli dans une unité de soins palliatifs ; sa famille ainsi que ses frères et sœurs, cousins et neveux, ont pu se relayer auprès de lui pour un dernier adieu.
Sa messe d’enterrement fut très émouvante et pourtant chaleureuse. L’assistance, malgré son chagrin, était profondément unie autour de celui qui l’avait quittée. Je compris en voyant cette famille digne et lumineuse, que les grâces célestes avaient abondé dans le cœur de chacun. La stabilisation temporaire du mois de septembre nous avait donné un sursis providentiel pour nous préparer à cette séparation. Et c’est à présent de façon plus sereine que nous pouvons parler ensemble des bons souvenirs qui nous ont unis autour d’Oncle Alain, ainsi que des moments douloureux mais riches en affection partagée, passés à son chevet.
AJ
Pour aller plus loin :
Offrir une messe pour un défunt ou une personne vivante :
http://www.montligeon.org/fr/offrir-une-messe-pour-un-defunt
visite du sanctuaire dédié aux âmes des défunts
prier pour les âmes du purgatoire
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Homélie Mgr Rey
ST. JOSEPH, PATRON DES MOURANTS
Dans les litanies qui lui sont dédiées, saint Joseph est invoqué comme le patron de la bonne mort, le patron des mourants.
L’Écriture et la Tradition ne disent rien du terme de la vie terrestre du père nourricier de Jésus. Tout laisse supposer que Joseph a disparu avant le départ de Jésus pour le désert, au début de la vie publique. À Cana, Marie semble bien être veuve ; elle dépensera sa vie à accompagner Jésus dans son ministère
Joseph s’est éteint comme il a vécu : humble, discret, obéissant sans restriction à la volonté de Dieu, Lui qui sonne comme Il l’entend l’heure de notre départ, comme Il décrète, comme Il le veut, l’heure de notre arrivée sur terre.
Joseph ayant accompli à Nazareth sa mission de père nourricier, se retire « sur la pointe des pieds », il s’efface sans bruit, sans plainte, entouré sans doute de la présence consolante de Jésus et de son épouse Marie, à son chevet.
Cette pudique et confiante disparition de Joseph nous aide à porter une réflexion salutaire sur la mort.
Cette réflexion sur la mort est d’autant plus utile aujourd’hui que celle-ci est dévoyée. Notre culture sécularisée, qui perd toute référence à un au-delà de l’existence terrestre et qui désacralise la vie, est tentée de gommer la mort. La généralisation progressive de la crémation, outre ses avantages économiques, traduit symboliquement cette tentation de ne plus laisser trace de la présence du défunt. Le cadavre part en fumée, s’envole aussi son souvenir. La poussière devient cendre. Elle n’est plus semence. Certes les apparences extérieures restent sauves, mais le sens est inversé. La charité d’une vie, c’est de continuer à faire vivre les autres par-delà la barrière de la mort, par la mémoire de ce que nous avons pu transmettre aux générations passées, et que chaque tombe nous rappelle et qui se poursuit dans la communion des saints qui continue de nous unir les uns aux autres.
En christianisme, la mort ne se comprend qu’à partir d’un événement que Jésus a inscrit dans l’histoire de l’humanité il y a 2 000 ans : la Résurrection, seul peut nous parler de la mort, celui qui en est revenu.
Paul n’aura de cesse à répéter aux premières communautés chrétiennes : « Si le Christ n’est pas ressuscité, vaine est ma foi ». « Dans la mort du Christ, la mort est morte » ajoute saint Augustin. Le trépas ne débouche pas sur une impasse ou dans un trou, mais sur une rencontre, un face-à-face, un visage, celui de Ressuscité. La mort devient pascale.
On dit qu’une vie s’achève. Mais en français comme en hébreu, il faut se rappeler que le mot « achever » a une double signification : achever c’est terminer, mais aussi accomplir, c’est-à-dire parvenir à une perfection, comme une œuvre d’art qui dit-on, est achevée. Notre existence débouche sur une victoire, un triomphe qu’offre la foi en dépit des apparences contraires. La foi nous prémunit de la peur de tout perdre. Au contraire, elle nous offre dans le Christ l’assurance de tout gagner, de participer au salut de Dieu.
Ainsi la vie ne se comprend plus comme une descente brutale ou progressive vers le tombeau, mais comme une ascension sur les traces de Jésus, jusqu’à un sommet : celui de l’amour plus fort que la mort. L’amour conduit la foi à l’espérance. La mort devient un porche d’entrée, une initiation à la vie éternelle.
De la même manière que la langue hébraïque, la vie se lit désormais à l’envers, à partir de sa fin, c’est-à-dire de sa destination, à partir de la Résurrection, comme l’ont expérimenté les pèlerins d’Emmaüs. Désemparés par la Passion du Christ, ils s’éloignaient de Jérusalem et voici que Jésus les a rejoints sur la route de leur désespoir, de façon anonyme, pour leur expliquer à rebours, tout en marchant à leurs côtés, la signification et la nécessité de sa Passion, à partir du témoignage de sa propre Résurrection.
Face à cette question brûlante de la mort, deux grandes tentations traversent notre société. D’abord, la tentation du suicide, si marquant chez les jeunes. Les dernières enquêtes attestent que le suicide en France est la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans après les accidents de voiture, soit près de 10 000 par an. Mais n’oublions pas non plus le suicide chez les personnes âgées, livrées à l’isolement.
Prochainement la loi risque d’offrir, avec la légalisation de l’euthanasie voire du suicide assisté, la possibilité technique de mettre fin à ses jours comme si le mal de vivre ou la vieillesse étaient un mauvais moment à passer, et qu’il fallait en précipiter l’issue. En raison de la déchéance pressentie, on voudrait hâter l’échéance.
Réussir la vie c’est aussi réussir sa mort. Non pas pour se la donner, mais pour la vaincre. Non pas pour la subir (en entrant dans son jeu) et en précipitant son cours, mais en l’accueillant comme Jésus qui en a fait un chemin pour entrer dans sa gloire.
La vie est un cadeau du Ciel. Elle nous offre le miracle d’être. Nous n’en sommes pas les propriétaires mais seulement les locataires, à charge pour nous d’en avoir grand soin pour la protéger, l’embellir de tout notre amour, la parer de toutes nos vertus. Et le meilleur de cette vie nous est réservé pour la fin. Cette longévité doit donc être par nous-mêmes et par la société, protégée, honorée jusque dans la sénilité puisqu’elle s’ouvre dans un dernier souffle à un avenir, à la vision de Dieu. Ainsi la foi en Dieu qui garantit le caractère sacré de la vie, protège l’homme et la société de toute agression que pour mille raisons de confort ou de coût, on serait tenté de lui infliger pour l’écourter.
Il y a encore un deuxième péril qui menace notre société face à la question de la mort. C’est ce que le philosophe Alain Finkelkraut appelle le « jeunisme ». Le jeunisme promet le divertissement, la fête continuelle, le corps toujours bronzé et athlétique, le corps intact et immortel. Ce jeunisme est un piège au visage avenant car il referme la jeunesse sur tous les autres âges de la vie. Au fond, il paralyse la vie dans son écoulement, dans son passage continuel qui laisse place aux nouvelles générations, à ce que les anciens auront préparé pour ceux qui les suivront.
Nous connaissons tous les leitmotiv mercantiles de la mode ou des codes esthétiques : « rester toujours jeune ». Certains seniors en se grimant en jeunes, encroûtés de crème anti-âge, gonflés de botox, survitaminés en compléments alimentaires, adeptes du viagra, s’épuisent dans les salles de sport ou barbotent dans les piscines de l’aquagym, pour cultiver l’utopie de cette éternelle jeunesse, de l’immortalisme. Ils cèdent ainsi au culte esthétique de la performance perpétuelle. Ils refusent de s’effacer en vivant simplement leur âge, privant ainsi les jeunes générations de ce qu’ils sont devenus et de ce qu’ils doivent leur communiquer : un enracinement dans un temps long, une sagesse et un art de vivre… qui épargnent aux nouveaux-venus de tout réinventer et de tout ré-apprendre. Ils déshéritent les nouvelles générations en n’assumant pas leur âge. Ils oublient aussi qu’un tissu usé laisse plus passer la lumière. Le jeunisme escamote la vieillesse et la mort. « Une civilisation où il n’y a plus de place pour les personnes âgées ou qui les met au rebut, est une société qui porte en elle le virus de la mort » (Pape François).
Saint Joseph, patron de la bonne mort, nous invite à sa suite à nous approcher de notre fin avec confiance. La confiance du juste qui toute sa vie, à l’école de l’humanité de Jésus à Nazareth, s’est préparé à le rencontrer au terme de son existence. « Il faut qu’il grandisse et que moi je diminue », dira Jean-le-Baptiste à propos de son cousin. Telle pourrait être également la devise de Joseph.
« L’arbre tombe du côté où il a toujours penché ». Joseph a pleinement honoré ce dicton populaire. Car la mort se prépare chaque jour par des abandons successifs et par des deuils consentis. D’ailleurs, le rythme du soleil qui nous fait passer quotidiennement de la clarté du matin vers l’obscurité de la nuit, exprime dans l’ordre du cosmos ce que nous avons à assumer existentiellement, en restant toujours orienté vers cet astre sans déclin qu’est le Christ, « lumière d’en haut, venue nous visiter ». Nous marchons vers le Seigneur avec le Seigneur.
En évoquant la mort, il ne s’agit donc pas de sombrer dans le morbide ou l’angoisse nécrologique face à la limite chronologique qu’elle impose, mais de comprendre la vie comme une assomption dans la durée de notre vie terrestre, vers une vie en Dieu. Une vie en Dieu déjà assumée ici-bas, mais qui trouve sa plénitude et son accomplissement dans la gloire du ciel.
L’essentiel est de laisser derrière nous les traces indélébiles de la charité. « Au ciel nous n’emporterons que ce que nous avons partagé avec les autres », rappelle le Pape François.
Que saint Joseph nous aide à préparer et à vivre notre Pâque dans cette espérance que nous offre le Christ et qui n’aura pas de fin !
+ Dominique Rey
Cotignac, le 18 mars 2018
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Comment obtenir une indulgence plénière :
Un beau cadeau à offrir à un défunt : l'indulgence plénière qui lui ouvre les portes du Ciel, conformément à la promesse de Jésus à Saint Pierre : "Je te remets les clés du Royaume des Cieux."
conditions d'obtention :
- 1 indulgence plénière par jour peut être obtenue pour soi-même ou pour un défunt
- s'être confessé dans les 3 semaines
- 1 communion le jour-même
- être en état de grâce et totalement détaché des péchés véniels
- dire un Je crois en Dieu, un Notre Père et un Je Vous Salue Marie pour le Saint-Père
- accomplir un acte référencé ci-dessous, comme la lecture de la Bible pendant 1/2h par exemple.
PÉNITENCERIE APOSTOLIQUE
RAPPEL À CARACTÈRE GÉNÉRAL SUR LES INDULGENCES
1. L'indulgence est ainsi définie dans le «Code de Droit canonique» (can. 992) et dans le «Catéchisme de l'Église catholique» (n. 1471): «L'indulgence est la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà effacée, rémission que le fidèle bien disposé obtient à certaines conditions déterminées, par l'action de l'Église, laquelle, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue et applique par son autorité le trésor des satisfactions du Christ et des saints».
2. En général, l'acquisition des indulgences exige des conditions déterminées (ci-dessous, nn. 3-4), et l'accomplissement d'œuvres déterminées (aux nn. 8-9-10 sont indiquées celles qui sont propres à l'Année Sainte).
3. Pour obtenir les indulgences, tant plénières que partielles, il faut, au moins avant d'accomplir les dernières exigences de l'œuvre indulgenciée, que le fidèle soit en état de grâce.
4. L'indulgence plénière peut être obtenue seulement une fois par jour. Mais pour l'obtenir, outre l'état de grâce, il est nécessaire que le fidèle
- possède la disposition intérieure, du détachement complet du péché, même seulement véniel;
- se confesse sacramentellemeпt de ses péchés;
- reçoive la Sainte Eucharistie (il est certes mieux de la recevoir en participant à la Messe; mais, pour l'indulgence, seule la sainte communion est nécessaire);
- prie selon les intentions du Souverain Pontife.
5. Il est bon, mais pas nécessaire, que la Confession sacramentelle, et en particulier la sainte communion et la prière pour les intentions du Pape soient effectuées le jour même où l'on accomplit l'œuvre indulgenciée; mais il est suffisant, que ces saints rites et prières soient accomplis quelques jours (environ 20) avant ou après l'acte indulgencié. La prière selon l'intention du Pape est laissée au choix du fidèle, mais on suggère un «Notre Père» et un «Ave Maria». Pour diverses indulgences plénières il est suffisant d'effectuer une Confession sacramentelle, mais il est requis une sainte communion distincte et une prière distincte selon l'intention du Pape pour chaque indulgence plénière.
6. Les confesseurs peuvent changer, pour ceux qui en sont légitimement empêchés, l'œuvre prescrite ainsi que les conditions requises (exception faite bien sûr du détachement du péché, même véniel).
7. Les indulgences sont toujours applicables à soi-même ou aux âmes des défunts, mais elles ne sont pas applicables à d'autres personnes vivant sur terre.
Dans cette édition de l’Enchiridion, on fait plus souvent référence aux facultés qu’ont les assemblées épiscopales de déterminer les listes des prières les plus répandues sur leurs territoires, pour les orientaux selon leurs propres statuts, et pour les latins aux termes du canon 447 CIC. De fait le nombre des prières reportées par l’Enchiridion est notablement augmenté, surtout pour celles des Traditions orientales.
Par ce décret, on déclare authentique le texte qui suit et l’on en ordonne la publication en vertu de l’autorité du Souverain Pontife, comme cela a été signifié aux Responsables de la Pénitencerie Apostolique dans l’audience du 5 juillet 1999.
La Pénitencerie Apostolique, selon l’intention du Saint Père, souhaite que les fidèles, guidés par l’enseignement et la sollicitude pastorale de leurs évêques, s’emploient à augmenter leur piété à la gloire de la Divine et très auguste Trinité, par l’usage des saintes indulgences dans une religieuse disposition intérieure de leur âme.
Nonobstant toutes dispositions contraires.
Donné à Rome, au Siège de la Pénitencerie Apostolique, le 16 juillet 1999, en la commémoration de Notre-Dame du Mont-Carmel :
. Indulgences plénières que l’on peut obtenir chaque jour
Acathiste (hymne) ou Paraclisis (conc. 23 § 1) 00
Adoration eucharistique, pendant au moins une demi-heure (conc. 7 § 1, 1°) 00
Chapelet marial récité dans une église pendant 1/2h ou en famille (conc. 17 § 1) 00
Exercice Pieux du Chemin de Croix (conc. 13, 2°) 00
Lecture ou écoute de la Sainte Écriture, pendant au moins une demi-heure (conc. 30) 00
Visite en forme de pèlerinage aux Basiliques Patriarcales de Rome (conc. 33 § 1, 1°) 00
suite sur le don de l'indulgence
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